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 Le héros, la brute et sa victime (PV)

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Oli Hewlett
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THE gros méchant

Oli Hewlett


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MessageSujet: Le héros, la brute et sa victime (PV)   Le héros, la brute et sa victime (PV) EmptyDim 17 Mar - 0:33

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14 Septembre, 13:05

La vie au château est si belle qu'elle me met en colère. Dans le parc, tous les élèves célèbrent l'arrivée de la fin de semaine et, logiquement, la fin de la première semaine de cours. Leurs sourires me rendent malade. C'est pourquoi j'ai préféré me réfugier sur le terrain de Quidditch, désert à cette heure. Je passais une excellente semaine jusqu'à hier soir où je découvris la tragique mort de Gaston, le rat mon compère. Je ne suis pas triste. Être triste n'est bon que pour les faibles. Je suis...dérangé. Voilà. Je suis dérangé par la nouvelle. Cette pauvre petite bête toute raide entre mes mains... Snif. Quoi? J'ai simplement reniflé, je n'ai pas pleurnicher. Je ne suis pas un pleurnichard. Je dois me trouver une occupation. Ah oui, pourquoi ne pas trafiquer les gradins ? Cette activité ludique me permettrait de m'évader de mes sombres songes. N'est-ce pas là une pensée poétique ? Je m'avance donc sur le terrain habituellement interdit aux élèves. Je ne suis pas n'importe quel élève donc je me moque bien des restreintes dont on les afflige. C'est d'une logique plus qu'élémentaire lorsque l'on est en connaissance de mon statut royal dans cette école. Je domine, j'écrase et je réduis en poussière quiconque tente de me tenir tête. Les professeurs de Poudlard ne font pas exception à la règle. Je ne suis sur terre que pour diriger, c'est un fait. Et en tant que membre de la race supérieure des sangs purs, je décide de grimper aux gradins et de scier les planches qui solidifient les bancs. Dès qu'une personne de plus de soixante-dix kilos aura l'audace de s'asseoir sur l'une de ces planches, elle se cassera en deux et tous auront le réflexe de se moquer du coupable.

Ô grande joie qui m'anime en songeant à ces nouveaux complexes qui seront créés. quel ennui après avoir

Ô grand désespoir qui me tourmente dès ma besogne achevée.

Je tourne en rond tel un chien auquel on aurait imposé une cage. Je ne me reconnais plus. N'ai-je pas toujours de bonnes idées? Un esprit comme le mien ne peut être inoccupé plus longtemps. Cela découle du gaspillage même! Et voilà que quelque part, un dieu a eut connaissance de ma détresse. Il se montre généreux et se manifeste sous la forme d'un élève de deuxième ou de troisième année. Un simple coup d’œil en sa direction m'apprend qu'il s'agit d'un Poufsouffle. Ah comme je n'ai que mépris pour ces belettes incompétentes. J'ai dire que les membres de cette maison ne sont somme toute que les déchets des trois autres. En d'autres mots, ceux qui n'avait nul talent pour le savoir, le pouvoir ou l'altruisme. Tant suis-je adepte de la rivalité entre les rouges et les verts, tant je ne voyais l’utilité des jaunes. Ainsi je leur en créai une : subir mes humeurs. Je m'engage donc au travers de son chemin, un sourire mauvais aux lèvres. Avec les faibles, il faut faire bonne impression.

« Que fais-tu là ? C'est interdit ici, tu sais ? Il va falloir que quelqu'un te rafraîchisse la mémoire au sujet de la manière dont il faut se comporter ici. »

Je suis maintenant tout près de lui et je l'oblige d'un bras autour de ses épaules à s'approcher d'avantage.

« Je me présente... Je m'appelle Oli, tu dois avoir entendu parler de moi. Tu peux m’appeler Monsieur. »

Il ne semble pas vouloir aller faire une promenade avec moi le pauvre.

« Tu connais le sortilège Endoloris? C'est mon préféré »

Je le pousse vers les gradins. Ne serions-nous pas tranquille et à l'abri des regards pour faire plus ample connaissance ? J'ai bien l'intention de le mettre dans un tel état qu'il ne saura capable d'atteindre Poudlard que pour le petit déjeuner du lendemain.
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Edwin Kantdraw

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MessageSujet: Re: Le héros, la brute et sa victime (PV)   Le héros, la brute et sa victime (PV) EmptyMer 20 Mar - 9:25

La salle commune et le dortoir étaient déserts en ce début de weekend. Edwin venait tout juste de se lever et s’en étonna Il n’était certes pas loin de onze heures, mais habituellement il restait toujours quelques personnes entre ces murs. Le poufsouffle s’approcha des fenêtres et découvrit un ciel bleu, sans nuages, où siégeait un soleil brûlant. Balayant ensuite la pelouse du regard, il comprit. Une fin de semaine et du beau temps avait souvent cet effet sur les élèves. Il n’en comprenait pas exactement la raison, mais c’était reposant. Le château était vide, silencieux, et il pouvait se déplacer sans craindre d’être encerclé. Le garçon attrapa un morceau de parchemin, sa plume et son encrier, et sortit du dortoir. Il ne fit que quelques pas dans le couloir qu’il revenait déjà pour récupérer aussi son roman.

Il monta alors à la volière pour commencer par envoyer une lettre à son frère. Un hibou de l’école accepta ce fardeau et Edwin l’observa s’éloigner au-dessus de Pré-au-lard. Il resta là un moment, même après la disparition du volatile à l’horizon, cherchant alors un endroit tranquille en bas, dans le parc. Il aurait pu aller à la bibliothèque, comme souvent, mais le poufsouffle avait des envies d’espace. Seulement, la perspective de se mêler à tout ce monde grouillant sur l’herbe verte n’était pas vraiment à son goût. Il était sur le point de renoncer à cette quête quand, se retournant pour descendre, son regard glissa sur le terrain de quidditch.

* C’est interdit ! *

Peut-être, mais justement, quelle chance aurait-il d’être dérangé dans ce cas ?

* Tu vas te faire prendre et coller ! Et les points, tu y penses ? *

Seul, dehors, à pouvoir lire, voilà tout ce qui l’intéressait vraiment à cet instant. Aussi, balayant les objections de sa conscience du revers de la main, il dévala les marches pour rejoindre le hall. Une fois à l’extérieur du château, Edwin longea les murs, dans l’indifférence totale des autres élèves. Ils étaient tellement bruyants... Mais il laissa ce brouhaha derrière lui et le silence le prit bientôt dans ses bras quand il arriva à destination. Le garçon approcha tranquillement d’une des tribunes, en fit le tour, et s’assit dans l’herbe, à l’ombre. D’adossant à la structure de bois, il ouvrit son livre et se laissa porter sur les rives de l’imaginaire. Combien de temps s’écoula avant que le calme ne soit rompu par un bruit non identifié ? Il n’en savait rien, et le temps d’y réfléchir, la brise était la seule à souffler. A plusieurs reprises ce sont vint le déranger, sans qu’il ne s’en inquiète vraiment. D’ailleurs, il devait être temps de faire demi-tour maintenant. Sa soif d’espace était éphémère, et son ventre protestait contre ce régime forcé, n’ayant rien reçu depuis la veille au soir. Edwin se leva donc, faisant disparaître le petit volume dans la poche de sa robe, et prit la direction du château quand une voix l’arrêta.

Qui était ce type ? Un préfet ? Il faillit lui demander mais l’autre était trop bavard et commençait les présentations. Enfin, la sienne surtout, avec une arrogance laissant le poufsouffle perplexe, surtout que ce nom lui était inconnu. Ses paroles n’en finissaient pas de pleuvoir, angoissantes et presque ridicules tant c’était inimaginable. Mais le pire dans cette situation, c’était sa proximité. Il n’y avait pas une horde de personne, mais ça n’était pas plus agréable pour autant. Voilà qu’il se trouvait même entraîné vers les gradins, avec une douceur digne d’un éléphant...

* Qu’est-ce qu’il a celui-là ? *

Sans doute un de ces serpentards primaires dont la bêtise frisait le niveau de leur malice... Et dans tout ça, Edwin n’avait pas émis le moindre son. Le silence lui semblait préférable, n’étant pas vraiment sûr de pouvoir contrôler sa voix. Mais, alors qu’il heurtait le bois de la construction, sa langue se délia, dans un murmure timide où perçait l’appréhension plus que la peur.

« Non, jamais entendu parler de toi. Pourquoi ? T’es connu ? Enfin, tu le seras en tout cas si tu utilises l’Endoloris ici. »

Sa voix s’évapora aussitôt, se rendant compte qu’il avait peut-être été trop loin sans le vouloir. Une personne normale aurait pris cela avec humour, mais Edwin n’était pas certain que ce serait le cas de cet individu-là. Trop haineux, trop arrogant, trop sûr de sa force pour accepter la critique. Et puis, les gens normaux menaçaient rarement d’utiliser un des sortilèges interdits... C’était trop tard cependant, et le poufsouffle ne put que déglutir en attendant la suite.
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Jesse Cooper

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MessageSujet: Re: Le héros, la brute et sa victime (PV)   Le héros, la brute et sa victime (PV) EmptyJeu 21 Mar - 14:31

C’était déjà le deuxième samedi de septembre et les entraînements de Quidditch n’avaient toujours pas commencé. Jesse en était clairement frustré, il avait hâte de se remettre à voler. Il avait le souvenir des équipes des années passées, des joueurs plus âgés avec qui il était soudé. Il y a quelques années, il aurait su quand était prévue la reprise, quand allaient avoir lui les essais pour remplacer les anciens… Cette année, les derniers d’entre eux étaient partis et il était dans le flou le plus total. Cette situation ne lui plaisait pas, le jeune homme aimait bien contrôler ce qui se passait plutôt que de le subir.

Allongé sur son lit, en train d’essayer tant bien que mal de déchiffrer le première exercice de traduction de runes de l’année, Jesse regardait de plus en plus par la fenêtre. Le ciel était complètement dégagé, le temps aurait été idéal pour un premier entraînement. Quel dommage ! Sa frustration était à son comble ! Pourquoi est-ce qu’il ne se passait rien ? Leur ancien capitaine n’aurait pas agit de la sorte… En tout cas c’est ce que le Gryffondor pensait, à moins qu’il idéalise un peu les anciens joueurs ? Après tout c’était possible… Le jeune homme essaya de se reconcentrer sur son devoir de runes mais du se rendre à l’évidence que ça sera compliqué.

Il descendit donc dans le parc du château et se dirigea, presque machinalement, vers le terrain de Quidditch. Le temps avait été très maussade depuis la reprise mais ce week-end était réellement beau. Il ne faisait pas aussi chaud que pendant un été mais les rayons du soleil étaient très agréables et réchauffaient la peau. Les arbres et arbustes étaient encore très verts, bien arrosés par la pluie, mais quelques touches de couleurs dorées commençaient à apparaître sur les feuilles. Un petit groupe de perdrix sauvages barbotait près du lac, à la lisière de la forêt, leur bec rouge créant un joli mélange avec les couleurs de la flore. C’était vraiment un beau spectacle.

Quelques minutes plus tard, Jesse arrivait à destination. Le terrain semblait vide, il entra donc et resta quelques minutes au milieu de la pelouse. Il ferma les yeux et laissa les rayons du soleil le réchauffer. Puis il rouvrit les yeux, la tête légèrement penchée en arrière, regardant les gradins. Qu’est-ce qu’il pouvait aimé ce terrain ! Même si celui-ci était vide, la sensation que Jesse ressentait à cet instant était intense. Il envisagea même de remonter rapidement dans sa chambre pour prendre son vieux Brossdur et revenir voler, après tout le terrain était vide. Ce n’était sûrement pas prudent mais personne n’utilisait le terrain, il ne dérangerait pas.

Il fut sorti de ses pensées avant d’avoir le temps d’agir, par un petit bruit dans les gradins, comme si quelque chose avait percuté le bois. Il regarda attentivement, les sièges étaient vides. Sachant qu’il n’était probablement pas autorisé à être ici – règle stupide, pensa-t-il – Jesse se rapprocha du bord du terrain. C’est alors qu’il aperçu deux silhouettes sous les gradins. Vu leur gabarit, le jeune homme en conclu qu’il s’agissait d’élèves. Il décida donc de s’approcher pour voir ce qui se passait, le fait qu'ils se soient cachés ne présageant rien de bon.
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Oli Hewlett
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MessageSujet: Re: Le héros, la brute et sa victime (PV)   Le héros, la brute et sa victime (PV) EmptyDim 7 Avr - 2:29

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Désolé du petit retard 'n'

Le type me suit sans poser de question. J'aime son attitude. Il fera un beau tapis lorsqu'il sera mort. Je resserre mon étreinte en ricanant doucement. Je crois qu'il ne réalise pas que je suis capable d’utiliser ce maléfice mais que j'en ai aussi le culot. On arrive sous les gradins et je le plaque gentiment contre une colonne de bois. Je sors ma baguette et l'enfonce sous son menton. Seigneur, il ne se défend même pas ! Sauf qu'avant que je décide quelle genre de douleur je veux lui faire ressentir, il ouvre sa bouche. Le pauvre Poufsouffle semble mal à l'aise. Presque effrayé mais pas tout à fait. Pourtant, il aurait toutes les raisons d'avoir peur de moi. Il n'a vraisemblablement pas une vision éclairée de ce qu'est Endoloris. La sensation de mal, paraît-il, vous donne vite l'envie de mourir. Je me demande jusqu'où je pourrais pousser ce garçon avant qu'il ne me supplie de l'achever. Ce sera une expérience pour le moins intéressante. Bref. Ce qu'il me dit me laisse songeur. Comment se fait-il qu'il existe encore dans cette école des élèves qui ne me connaissent même pas de nom ? N'est-ce pas moi qui ait inondé les toilettes du quatrième étage au point qu'il y avait de la pluie dans la classe du professeur Balfour ? N'est-ce pas moi qui ait mit feu à une serre, en deuxième année ? Et n'est-ce pas moi qui ait fait paniqué les chouettes un matin au point où elles couvrent d'excréments la Grande salle, l'année dernière ? Mais où cet imbécile était tout ce temps ? Sûrement pas dans ses livres, il doit être aussi idiot que tous les autres Poufsouffle. Je déteste la bannière des jaunes. Ils me dégoûtent. Tant qu'à moi, il n'y aurait qu'une seule maison à Poudlard et ceux qui ne conviendraient pas seraient simplement renvoyés dans les jupes de leurs mères. Mon sourire s'élargit pourtant en découvrant mes canines prédominantes. Vous saviez que j'avais de la parenté avec les vampires ? Si non, vous êtes vraiment sans culture. J'ai bien des oreilles pointues et des dents aiguisées. Je ne retire pas ces traits du voisin de ma tante, quoi. J'espère que cette variante supplémentaire à la situation va aider à la compréhension du garçon au vu du merdier dans lequel il est présentement. Je met une légère pression sur ma baguette et le frappe de mon autre main au niveau du ventre, histoire de lui apprendre un peu les bonnes manière.

« Dit donc, face de Bandimon, je t'ai demandé de m’appeler Monsieur. Ça comprend aussi le fait de me vouvoyer. »

Je m'éloigne de lui pour le laisser reprendre son souffle mais le garde en joue. Je me concentre. Je l'imagine se faire couper de long en large. Je l'imagine saignant et agonisant. J'ai lu dans un livre acheté chez Barjow et Beurk qu'avant de lancer le maléfice Endoloris, il fallait s'imaginer clairement la blessure ou la douleur de sa victime. C'est ce que je fais en fronçant les sourcils. Je clame avec un ton fasciné, presque pervers. J'ai cette voix quand je fais quelque chose de vraiment méchant. C'est pour cela que je respire l'air du monde, c'est ma passion première, mon hobby : faire le mal.

« Endoloris ! »

J'observe la réaction de ma victime. C'est merveilleux. J'aime faire de la magie. Je me sens si puissant. Et puis, si je me fais prendre... Quitte à être pendu aussi bien que ce soit pour avoir voler un dragon qu'un mouton, comme on dit. Sans mon diplôme de Poudlard, je suis convaincu que je pourrais devenir quelqu'un de puissant dans ce bas-monde. Surtout en maîtrisant les sortilèges impardonnables. Je pourrais même renverser le ministère de la Magie et m'imposer comme chef suprême. Seigneur Oli Hewlett, ça sonne plutôt bien. Oh non... Pourquoi pas, Sa Majesté Hewlett ? En même temps, rien ne m'empêche de le faire après ma septième année. Tant qu'à faire, j'aimerais mieux obtenir mon diplôme et prouver que Poudlard ne transforme pas nécessairement un sorcier en un gentil sorcier. Je blâmerais le directeur de l'école et il serait renvoyé. Ce que je ferais pour faire du mal aux gens ? N'importe quoi ! Pour le moment, j'use de ce maléfice impardonnable et horriblement jouissif. J'éclate de rire. Pas un rire faux. Un vrai rire sincère et surpris. Ça fonctionne ! Je suis génial.

« Endoloris ! Endoloris ! Mwahahahaha ! Quel merveilleux jour, après tout ! »

Je me penche vers lui et lui prend le menton.

« La vie est injuste, tu ne trouves pas ? Mourir si jeune ! »

Oh et ce n'est pas des menaces en l'air. Tant qu'à essayer un sortilège impardonnable...
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Edwin Kantdraw

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MessageSujet: Re: Le héros, la brute et sa victime (PV)   Le héros, la brute et sa victime (PV) EmptyMar 30 Avr - 22:26

Mais que lui voulait-il ce gars ? Edwin ne comprenait pas. Les conflits, ça n’avait jamais été son truc. Calme, il passait à travers ce qu’il considérait comme une façon infantile de régler un problème. Et puis pourquoi se battre en fait ? Y gagnait-on vraiment quelque chose ? Des ecchymoses sans aucun doute mais sûrement pas beaucoup plus, ou rien de très agréable en tout cas, à moins que... Mais le masochisme ne faisait pas partie de sa vie. Aussi, coincé contre une colonne, une baguette pointée – un peu trop près – sur sa gorge, le Poufsouffle ne se sentait pas vraiment à son aise. De la peur ? Oui, bien sûr, mais elle ne se peignait pas sur ses traits, seul une sensation malaise pouvait se lire dans sa posture. Ses mains s’entortillaient comme deux serpents, mais sans représenter le même danger.

Cela n’eut aucun effet. En fait, cet individu se mettait même à sourire, laissant sa proie observer ses canines. Edwin déglutit difficilement. Ce type était un vampire en plus d’une brute ? C’était un cumul de caractéristiques charmantes se dit le garçon en détachant son regard de la dentition. Et là ce fut le choc ! Le garçon eut l’impression de se vider complètement. Plus une once d’air ne devait remplir ses poumons ! La pression sur sa gorge se fit alors plus légère tandis que son bourreau reprenait la parole. Il ne put que s’incliner devant tant d’arrogance ! Le mépris, tout aussi présent, ne l’interpellait pas autant, lui. Dans sa position, il savait que l’autre ne pouvait pas ressentir autre chose. Légèrement penché, les bras croisé sur son ventre, il lança un regard incrédule au Serpentard. Avait-il à ce point besoin d’un affrontement ? Enfin, c’était un bien grand mot tant il n’y avait pas de résistance en face. Il avait peut être juste envie de martyriser et entendre les gémissements d’une proie sans défense. Le Poufsouffle n’était pas la personne la plus courageuse sur cette Terre, mais il ne lui donnerait pas si facilement ce plaisir. En tout cas, il n’en avait pas l’intention, mais sans se douter de l’épreuve qui allait l’attendre...

« Endoloris ! »

Ses yeux s’écarquillèrent de surprise. Ce fou venait de lui lancer un sortilège impardonnable ! Voilà quelle fut sa première réaction qui ne dura qu’à peine une seconde, la suivante, son esprit tout entier se fit envahir par un flot de souffrance. Il crut que son regard se voilait avant de comprendre qu’en réalité, les larmes lui brouillaient la vue. Chaque parcelle de son corps se mit alors à lui donner l’impression de vouloir se désolidariser pour fuir ce mal qui le rongeait. Les dents serrées, Edwin tentait de supporter mais, il en était convaincu, cela ne durerait pas longtemps. Jamais auparavant il n’avait ressenti autant de douleurs en même temps. La sueur ruisselait sur son visage, se mélangeant à ses larmes avant de tomber sur l’herbe. Lui-même était tombé, non ? L’espace, le monde, tout ceci n’avait plus la moindre consistance à ses yeux. Seul demeurait son cerveau hurlant à la mort, pensant peut être ainsi chasser le mal qui le contrôlait totalement. Loin au-dessus de lui retentissait le rire du Serpentard. Ce son désagréable était le seul à franchir la brume de souffrance qui noyait son esprit, tel un ultime outrage, la dernière torture…

Soudainement, tout sembla s’arrêter. Aussi vite qu’elle s’était déclarée, la douleur s’évapora. Enfin, pas totalement. Des stigmates subsistaient et Edwin, trempé de sueur, avait l’impression d’avoir le corps courbaturé comme après une longue course... Profitant de cette accalmie, le garçon essaya de se redresser, mais ses membres ne semblaient pas d’accords. Chaque tentative le ramenait inévitablement à son point de départ, allongé dans l’herbe. L’autre lui fit alors redresser la tête et à travers le brouillard de son esprit, ses traits se dessinèrent. Heureux, voilà ce que ce fou semblait être !
Heureux de vouloir lui prendre la vie après cette douce torture.
Le Poufsouffle voulut prendre la parole, mais seul un balbutiement passa ses lèvres, se mâchoire se faisait trop douloureuse.

« Que... Pour... »

Sûrement un autre motif de mépris. Mais vue sa situation, il n’était plus à ça près... Et puis, à quoi bon parler ? S’il attaquait par simple plaisir, toute communication était inutile. Mais irait-il jusqu’au bout ? Utiliser ce sortilège qui mettrait fin à sa brève existence. Que diraient ses parents ? Et surtout, comment réagirait son frère... S’il y avait une personne qu’il ne voulait pas blesser, c’était lui... Et aujourd’hui, juste comme ça, il allait peut être disparaître. Pourquoi ? Parce que ce garçon était faible, ou plutôt, répugnait à se battre.

* Désolé, tout est de ma faute... *

Baissant la tête, il resta muré dans le silence attendant la fin. Seule une petite flamme brûlait encore en lui. L’espoir qu’un miracle ait lieu...



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Jesse Cooper

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MessageSujet: Re: Le héros, la brute et sa victime (PV)   Le héros, la brute et sa victime (PV) EmptyVen 3 Mai - 14:33

Jesse tenait sa baguette bien fermement devant lui et continua de s’approcher des deux silhouettes. Il avançait lentement, un peu courbé car il était légèrement trop grand pour tenir debout sous les gradins. Comme d’habitude, il essayait d’être discret malgré sa carrure, même s’il ne croyait pas vraiment pouvoir y arriver. Après tout, il était même plus grand que la plupart des professeurs et ses larges épaules ne lui permettaient pas de se dissimuler derrière les fines colonnes de bois. Dans ces cas-là, il enviait toujours les petits gabarits. Heureusement, l’endroit était assez sombre et les deux personnes qu’il avait repérées ne le voyaient pas.

Le Gryffondor se tenait maintenant à une trentaine de mètres des deux élèves. C’était apparemment deux garçons. L’un d’entre eux lui disait quelque chose, il se rapprocha encore un peu pour découvrir que le jeune homme n’était autre qu’Oli Hewlett. Surprenant, pensa-t-il ironiquement. Ce taré était encore en train de préparer un mauvais coup. A cette pensée, le cœur du jeune homme commença à battre un peu plus vite et son attention se reporta sur le garçon qui avait l’air plus que mal à l’aise entre Oli et un poteau de bois. Il était plus petit et sûrement plus jeune que le Serpentard. Le 7ème année ne le connaissait pas, ou en tout cas, ne se souvenait pas de l’avoir déjà croisé. Tout à coup, le corps du garçon se raidit et il fit un mouvement étrange, comme s’il tremblait. Non, il ne tremblait pas, il avait des spasmes. Jesse ne pouvait pas voir son visage mais sentait que le garçon n’allait pas bien. Bien qu’à cet instant l’idée ne lui traversa même pas l’esprit qu’un élève – aussi sadique puisse-t-il être – utilise un sortilège impardonnable dans l’enceinte de Poudlard, le Gryffondor, qui était certain qu’Oli était en train d’abuser du jeune garçon, sorti de la pénombre en hurlant :

- Espèce de sadique, laisse ce garçon tranquille !

Puis, sans reprendre son souffle continua en lançant un sort destiné à déstabiliser le Serpentard et cria Bombarba. Il fit exploser une planche non loin de celui-ci. Il lança ce sort une deuxième fois, laissant sa rage s’exprimer.
En se rapprochant des deux jeunes hommes, il vit mieux le visage du plus jeune, un élève de Poufsouffle. Il était extrêmement crispé et avait l’air de souffrir ce qui mit Jesse encore plus en colère qu’il ne l’était déjà. Très vite, il se remit donc à lancer des sorts à destination d’Oli, d’abord un nouveau sort d’explosion qui manqua de toucher ce dernier puis il fit sortir de sa baguette un jet d’eau assez puissant qui fit reculer le Serpentard sous la pression et le trempa. Le Gryffondor dut faire preuve d’un gros self-control pour ne pas frapper l’agresseur qu’il détestait ou lui lancer un sort qui aurait pu lui faire vraiment mal. Il était par contre bien décidé à le désarmer et cria : Expelliarmus.

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Oli Hewlett
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MessageSujet: Re: Le héros, la brute et sa victime (PV)   Le héros, la brute et sa victime (PV) EmptyLun 13 Mai - 3:35

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Mon sortilège Doloris a fonctionné mais pas autant que je ne l'aurais voulu. Parce que ma victime continue de parler et a visiblement encore le contrôle de son corps. Je devrai m'exercer et devenir plus puissant. Peut-être est-ce par rapport à mon âge. Ces petits détails ne m'empêchent pas d'être extrêmement fier de moi et heureux de ma supériorité. Ce n'est pas n'importe quel imbécile qui peut lancer un sortilège de cette puissance. Je suis exceptionnel, puissant et dangereux. Cette école n'a visiblement plus rien à m'apprendre. Et ce garçon n'a visiblement... plus aucune chance de survie. Je l'entends faire un semblant d'adieu et je ris. C'est tellement mélodramatique. Il dit même que ce qui vient d'arriver est de sa faute. Oui, c'est bel et bien son problème s'il est aussi sans défense. Mais c'est moi qui tient la baguette. Il n'est pas exactement le seul coupable, ce serait lui donner tout le mérite. Hahaha. Allez, fini de jouer. Je contemple le visage blafard et ruisselant de sueur du garçon. Il ferme les yeux, attendant sans doute le moment fatidique. Je vais le laisser poireauté un peu, histoire de lui donner de faux espoirs. Je me mords les lèvres d'enthousiasme. Comment expliquer ce sentiment de puissance qui déferle à l'instant au travers de mes veines ? C'est plus enivrant que de l'alcool, plus planant que de la marijuana, c'est... ça n'a pas de nom. Je pourrais, et je vais, enlever la vie de ce garçon avec une seule parole. Je contrôle son avenir. Je contrôle aussi le destin de tous ses proches, de ses parents, de sa famille. En une seule parole je peux déclencher un vent de panique sur Poudlard. Une chasse à l'homme. J'ai le pouvoir. Je caresse la joue du poufsouffle, mes mains tremblent autant que le corps de ma victime. J'ai une pensée tout de même pour les conséquences... et si on m'attrapait ? Ce serait Azkaban à coup sûr. Le directeur me suit déjà à la trace. Je descend jusqu'à son pantalon et agrippe sa propre baguette. Si j’utilise la sienne, qui pourrait bien m'accuser ? Je souris.

« Avada... »

Et pour la deuxième fois. La DEUXIÈME fois. En... en deux semaines ! Je me fais arrêter dans la récitation de la formule. Quelque chose explose, je recule et un autre morceau de bois éclate à quelques centimètres de mon crâne. Qui est le salop ? Je le cherche du regard et je vois ce connard de Jesse Cooper. Le poursuiveur de l'équipe des gryffondors avec qui je me suis battu au moins à chaque match l'année dernière. Qui aurait cru que ce grand gaillard me mettrait des bâtons dans les roues à ce moment précis ? Tant pis, j'en tuerai deux. Je pointe ma baguette vers lui, le regard pétillant mais...

« Blrb ! »

Il m'a arrosé ! Je recule bien sûr et je crache un jet d'eau. Mon uniforme scolaire est complètement trempé et me colle à la peau comme si il aurait été question de haillons tissés d'algues. J'enrage. Je me passe la main dans les cheveux. Il veut souffrir, c'est bien ce que je comprends. Je pointe la baguette du poufsouffle vers Jesse mais il me désarme. J'ai un rictus méprisant. Il est tellement naïf. Ce n'est pas l'âge qui fait d'un sorcier un bon combattant. Ce sont ses tripes. Et je compte bien les lui arracher une à une. Non... j'ai une meilleure idée ! Je vais me le faire en poulet rôti.

« Volalitors »

Je parie qu'il ne s'attendait pas à ce que je tente de le métamorphosé en poulet. Ce n'est pas une tactique des plus orthodoxes, je le consens.

« T'es mignon en poulet. T'avais pas remarqué que j'en avais deux des baguettes ? Hop hop, ne t'enfuie surtout pas. Impedimenta !»

Bon, ça ne dure pas longtemps comme métamorphose, surtout sur un humain. Je dois me dépêcher.

« Je vais vous tuer tous les deux. Et en bonus, j'aurai pas besoin de dîner, j'ai un poulet complet pour moi seul. Et je meurs de faim. »

J'attire à moi quelques bouts de bois et les dépose sur le corps de ce gamin de poufsouffle. Ça va faire un joli brasier. Je ricane. Il me faudrait un truc pour empaler le poulet. Je cherche...

( Désolé les gars. je ne me souvenais plus de ce rp '-' )
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Edwin Kantdraw

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MessageSujet: Re: Le héros, la brute et sa victime (PV)   Le héros, la brute et sa victime (PV) EmptyDim 16 Juin - 20:40

Et la sentence tomba, doucement, d’abord le premier mot puis... Edwin ferma les yeux, attendant que la Mort vienne le cueillir. Mais la parole tant redoutée ne lui parvint pas. A la place, ce dut un craquement qui le fit sursauter. Ouvrant les paupières, le poufsouffle découvrit une silhouette imposante avançant vers eux en envoyant de nombreux sortilèges. Qui était ce ? Il n’en avait pas la moindre idée, mais il avait comme le pressentiment qu’eux se connaissaient. Par contre, ça ne semblait pas être de l’amitié, bien au contraire. La haine n’était pas un sentiment qu’il appréciait, mais dans sa situation, il la préférait à un lien plus sympathique, cela lui sauvait la vie. Seulement, tout ne se passa pas vraiment bien. Ou peut-être était-ce fait exprès ? Comme pour ne pas vexer la brute qui, sans cette intervention, l’aurait déjà envoyé retrouver ses aïeux.
 
Ils n’en étaient plus là désormais. Bien sûr, Edwin se trouvait toujours étendu, subissant les contre coups de l’endoloris, son corps meurtri secoué de spasmes intermittents. Combien de temps fallait-il pour récupérer après avoir été frappé par ce sortilège ? Des heures ? Des jours ? Des semaines ? Plus encore ? Comment le savoir ? Ce n’était pas vraiment un sujet que l’on traitait en cours... D’ailleurs la famille de cet individu devait avoir des liens avec la magie noire, à n’en pas douter. Même si le prouver devrait être impossible : il n’était pas assez bête pour ça. Enfin, son action d’aujourd’hui pouvait laisser dubitatif sur ce point, mais tout le monde faisait des erreurs...
 
Trop de confiance et un expelliarmus maîtrisé vint éjecter ma baguette des mains du tortionnaire, celle-ci atterrissant tout prêt de lui. Dans un mouvement imperceptible, le plus jeune des trois saisit la baguette la cachant ensuite le long de sa jambe, retrouvant sa position initiale. Il ne semblait pas avoir besoin de son aide, mais dans un duel, tout n’était jamais terminé... Et la démonstration en fut une nouvelle fois effectuée ! Comment aurait-il pu savoir que sa cible possédait deux baguettes ? Impossible, et le pauvre poufsouffle n’avait pas eu l’occasion de le prévenir de ce détail à l’importance capitale. Ce fut à ses dépens qu’il l’apprit, d’une manière plutôt humiliante, il fallait bien l’avouer. Se retrouver métamorphoser en poulet n’était pas un destin auquel on aspirait...
 
Seulement cela changeait la donne... Si son sauveur était neutralisé, et le fou furieux toujours aussi bavard et vicieux, son existence ne perdurerait plus très longtemps. Combien de temps la métamorphose pouvait durer ? Combien de temps devait-il tenir pour permettre à l’autre de le sortir une nouvelle fois de ce calvaire ? Cette question sous ses multiples formes tourna dans son esprit pendant plusieurs secondes et il lui fallut sentir les morceaux de bois tombant sur son dos pour revenir à la réalité. Un ricanement retentit juste après avant que l’ombre du bourreau se mette à chercher. Quoi ? Edwin n’en avait pas la moindre idée, et il se moquait pas mal de la réponse. A cet instant, une unique pensée le saisit : c’était maintenant sa plus grande chance ! Il se croyait hors de danger, l’arrogance qui le caractérisait refusait de le laisser penser qu’un microbe allongé au sol avait la moindre chance de contrecarrer ses plans...
 
Le Poufsouffle n’était pas le meilleur duelliste de l’école. Même dans sa promotion, il n’était qu’un élève parmi tant d’autre, sans aptitudes particulières. Il connaissait simplement les sortilèges de base qu’il avait mis en pratique pendant les cours, mais jamais en dehors. Serait-ce suffisant ? Il faudrait bien en tout cas. Dans le pire des cas, ce serait une diversion comme une autre... D’abord, les sortilèges. Commencer par l’expelliarmus serait un bon début, mais il faudrait poursuivre. Juste au cas où. * Mais oui... * pense le plus jeune des protagonistes. Ce pourrait être parfait pour gagner de précieuses secondes, voire minutes. En se retournant, faisant tomber les morceaux de bois sans discrétion, sa baguette pointée sur son adversaire, sa voix retentit, sans grande assurance, mais sans trembler pour autant.
 
«  Expelliarmus ! »
 
Le temps d’une respiration et, avec plus de fermeté, le Pourfsouffle ajouta « Petrificus Totalus » ! Que cela fonctionne ou non, ses moyens ne lui permettaient pas de faire beaucoup mieux. Au moins, il aurait essayé...
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