Aiguise Méninges
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 Moyens de déplacement

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Le hibou chantant
Maître du jeu

Le hibou chantant


Messages : 143
Date d'inscription : 12/01/2013

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MessageSujet: Moyens de déplacement   Moyens de déplacement EmptyMer 1 Mai - 11:23

BALAIS

Les inventeurs des balais magiques ont choisi cet objet car il est à la fois discret, léger, efficace et peu coûteux. Ces balais sont dotés de sortilèges leur permettant de voler (Sorts d'ascension, de descente, d'accélération, d'assistance, etc. Certains balais sont équipés d'options supplémentaires, comme l'antivol magique ou bien encore le vernis antimaléfice). Les premiers balais volants firent leur apparition vers la fin du 10ème siècle sous une forme beaucoup plus primitive qu'aujourd'hui. À cette époque, les familles de sorciers fabriquaient leurs propres balais. Chaque balai était unique, d'où l'existence de nombreux défauts. Le confort était loin d'être une priorité et les sortilèges utilisés étaient rudimentaires. Ainsi, le balai permettait simplement à un sorcier de se déplacer dans les airs. Les années passèrent et les nouvelles techniques rendaient les balais volants toujours plus confortables. En parallèle, les sorciers commencèrent à les utiliser pour leurs loisirs personnels. C'est à partir de 1926 que les balais furent fabriqués à grande échelle. Une douzaine d'années plus tard, Randolph Spudmore fut le premier à incorporer dans ses créations des accessoires en métal forgés par les Gobelins (en proposant par exemple des cale-pieds, des porte-balais ou des anneaux permettant de refermer le faisceau de brindilles avant de ranger le balai). Son cale-pied antidérapant est une touche qu'apprécient beaucoup les joueurs de Quidditch. Aujourd'hui, le balai volant est le moyen de locomotion préféré des sorciers, quel que soit leur âge. C'est également le plus utilisé dans le monde magique. Pour preuve, en Grande-Bretagne, chaque foyer de sorciers en possède au moins un.
Quelques fabriques de balais et leurs modèles :
- Brossdur (1, 2, 3, 5, 6, 7) : Bons balais de compétition
- Comète (140, 180, 260) : Bons balais de compétition
- Ellerby et Spudmore (Feuopoudre, Manchevif) : Balais de compétition très résistants, mais moins rapide pour le premier, et perdant de la vitesse en montée pour le second.
- Balais Universels (Étoile filante) : Balai de course le moins cher du marché. Il a d'abord eu un succès immédiat, mais le modèle a tendance à perdre de la vitesse et de l'altitude, et n'est donc plus produit aujourd'hui.
- Nimbus (1000, 1001, 1500, 1700, 2000) : Très bons balais de compétitions, mais aussi les plus chers. Aujourd'hui, Nimbus est le leader de ces firmes.
- Flyte et Barker (Margotin 90) : Bon balai de compétition, doté de gadgets tels qu'un correcteur de trajectoire ou bien encore d'un sifflet d'alarme. Selon ses fabricants, ce modèle aurait du prendre la place du Nimbus, leader sur le marché. Mais ce ne fut jamais le cas car le modèle subit des torsions lorsqu'il vole à grande vitesse et car il a la réputation peu flatteuse d'être utilisé par des sorciers riches mais dénués de bon sens.
- Leonard Jewkes (Flèche d'Argent) : Précurseur du balai de course. Son mode de fabrication ne permit pas de le produire en quantité suffisante pour satisfaire toutes les demandes.
- Gladys Boothby (Friselune) : Ce modèle a représenté un bond en avant dans la construction des balais et, pendant longtemps, il fut très demandé par les joueurs de Quidditch. Son principal avantage était sa capacité à atteindre des altitudes importantes tout en restant contrôlable. Son mode de fabrication ne permit pas de le produire en quantité suffisante pour satisfaire toutes les demandes.
- Elias Grimstone (Lancechêne 79) : Balai endurant et résistant, mais trop massif pour virer à grande vitesse. Aujourd'hui, c'est devenu un balai de collection.
- ? (Bombe bleue) : Balai familial sûr, stable, et équipé d'une sirène antivol.


CRÉATURES MAGIQUES

Certaines créatures ailées sont assez grandes pour transporter un sorcier sur leur dos dans les airs. C'est le cas par exemple des griffons, hippogriffes ou sombrals (en revanche, les dragons sont impossibles à domestiquer). Mais premièrement, il est assez difficile d'avoir une autorisation de posséder ces créatures, et puis elles ne sont pas très fiables, sans compter que les sombrals sont invisibles aux yeux de beaucoup. Il est donc rare qu'un sorcier se déplace par ce moyen.


MAGICOBUS

Le Magicobus est un transport d’urgence pour sorcières et sorciers en perdition. C'est un système très pratique pour les sorcières et sorciers qui ne supportent pas les voyages par poudre de cheminette, qui maîtrisent mal le transplanage, qui ont peur du vide ou qui sont terrifiés ou malades à l'idée d'utiliser un Portoloin. Pour le faire apparaître, il suffit de se poster sur un trottoir et de faire un signe avec sa baguette magique.
Le Magicobus est un bus violet à double impériale. Il comporte des chaises et des fauteuils dépareillés pendant la journée et des lits en cuivre pendant la nuit. Comme il se déplace en bondissant d'une destination à l'autre, il n'est pas particulièrement confortable et il vaut mieux éviter d'essayer d'y boire quelque chose.
Le Magicobus est une invention relativement moderne du monde magique inspirée, comme quelques autres, d'idées moldues (un fait que très peu de sorciers aiment admettre). Le transport discret et sécurisé des sorciers débutants ou infirmes est une question qui fit l’objet de maints débats au fil des siècles. Toutes les suggestions proposées (comme l'ajout de side-cars à des balais volants qui fonctionneraient comme des taxis ou de gros paniers suspendus à des Sombrals) furent rejetées par le ministère de la Magie. Finalement, c'est le ministre de la Magie Dugald McPhail qui eut l'idée d’imiter le « service d’autobus » que venaient d’instituer les Moldus et en 1865, le Magicobus fit son apparition sur les routes de Grande-Bretagne.
Si une poignée de sorciers (essentiellement des extrémistes sang pur) annoncèrent dans le courrier des lecteurs de la Gazette du sorcier leur intention de boycotter ce qu'ils appelaient un « scandale molduesque », la grande majorité de la communauté magique accueillit l’arrivée du Magicobus avec enthousiasme. C'est un moyen de transport encore très populaire aujourd'hui.


PORTOLOIN

Un Portoloin est un objet magique d'apparence anodine, utilisé par les sorciers pour se déplacer d'un endroit à un autre, à un horaire précis. Le sort utilisé pour en créer un est Portus. Il suffit de toucher d'un seul doigt le Portoloin à l'heure dite pour être transporté immédiatement à l'endroit prévu. L'objet utilisé doit être usagé, afin que les Moldus ne puissent s'en servir par erreur. Ce sont par exemple de vieilles chaussures, des cintres tordus, des boites de conserve vides...


POUDLARD EXPRESS

C'est le train qui part tous les ans, le 1e Septembre, du quai 9 3/4 à la gare de King's Cross et va jusqu'à la gare de Pré-au-Lard pour amener les élèves à Poudlard. Comme nous le savons d’après des récits historiques et le témoignage d’anciens bas-reliefs et gravures, les élèves de Poudlard avaient coutume d’arriver à leur école par tous les moyens qui pouvaient leur passer par la tête. Certains venaient en balai (un exploit difficile quand on doit emporter des valises et des animaux de compagnie), d’autres essayaient de transplaner (avec souvent des effets désastreux, car le château et son parc ont toujours été protégés par des sortilèges anti-transplanage), d’autres encore chevauchaient toutes sortes de créatures magiques.
Ces divers modes de transport magique entraînaient nombre d’accidents, sans compter le spectacle qu’offraient aux Moldus les nuées de sorciers qui volaient chaque année vers le nord. Malgré tous ces risques, c’étaient les parents qui avaient la seule responsabilité d’amener les enfants à l’école jusqu’à ce que soit instauré le Code International du Secret Magique en 1692. À partir de ce moment, il devint urgent de trouver une méthode plus discrète de transporter des centaines d’élèves sorciers de toutes les régions de Grande-Bretagne jusqu’à leur école secrète des Highlands d’Écosse.
Des Portoloins furent alors installés à des points de ralliement dans tout le pays. Des problèmes de logistique apparurent dès le début. Un nombre important d’élèves, jusqu’à un tiers, étaient absents parce qu’ils avaient raté le moment du départ ou parce qu’ils n’avaient pas trouvé l’objet d’apparence anodine qui avait le pouvoir de les transporter jusqu’à leur école. Il y avait aussi le fait, bien regrettable, que de nombreux enfants étaient sujets (et le sont encore) au « mal du Portoloin ». Ainsi, l’infirmerie était souvent bondée, dans les premiers jours de l’année scolaire, le temps que les élèves prédisposés à cette affection surmontent leurs crises de nerfs et leurs nausées.
Tout en reconnaissant que les Portoloins n’étaient pas la solution idéale au problème du transport des élèves, le ministère de la Magie ne parvenait pas à découvrir un autre système acceptable. Un retour à l’absence de réglementation sur les voyages était impossible et pourtant, des moyens plus sûrs de se rendre à l’école (par exemple une cheminée par laquelle on pourrait officiellement arriver grâce à la Poudre de Cheminette) furent vigoureusement refusés par plusieurs directeurs successifs qui ne voulaient pas qu’on puisse ouvrir une brèche dans les défenses du château.
Une solution audacieuse et controversée à ce problème épineux fut finalement suggérée par Ottaline Gambol, un ministre de la magie très intrigué par les inventions des Moldus et qui voyait dans les trains une possibilité à envisager. On n’a jamais su exactement d’où est venue l’idée du Poudlard Express, bien que soit établie l’existence, au ministère de la Magie, d’archives secrètes détaillant une opération massive qui nécessita cent soixante-sept sortilèges d’Amnésie et le plus grand charme de Camouflage collectif jamais réalisé en Grande-Bretagne. Le lendemain du jour où se déroulèrent ces violations présumées du Code du Secret, une rutilante locomotive à vapeur rouge tirant des wagons apparut devant les villageois stupéfaits de Pré-au-Lard (qui ne s’étaient pas rendu compte qu’ils disposaient d’une gare) tandis que, dans la ville de Crewe où se trouvait le plus grand nœud ferroviaire du pays, plusieurs cheminots moldus déboussolés éprouvaient la désagréable impression d’avoir égaré quelque chose d’important, une impression dont ils ne purent se défaire pendant tout le reste de l’année.
Le Poudlard Express fut soumis à plusieurs modifications magiques avant que le ministère approuve sa mise en service au bénéfice de l’école. De nombreuses familles de sang pur furent scandalisées que leurs enfants soient contraints d’utiliser un moyen de transport moldu, prétendant que c’était dangereux, insalubre et dégradant. Mais comme le ministère décréta que les élèves devaient prendre le train ou renoncer à se rendre à l’école, les objections furent rapidement étouffées.


POUDRE DE CHEMINETTE

Elle fut inventée au XIIIe siècle par la célèbre sorcière Ignatia Wildsmith. Sa fabrication est strictement contrôlée. Le seul producteur autorisé à fabriquer cette substance magique en Grande-Bretagne est une société appelée Poudchem. Si le siège de Poudchem se situe bien sur le Chemin de Traverse, ses employés ne répondent jamais à quiconque sonne à la porte.
Le monde magique n'a jamais connu de pénurie de poudre de Cheminette et aucun sorcier ne connaît ceux ou celles qui la fabriquent. Son prix n'a pas du tout changé au cours des cent dernières années : aujourd'hui encore, une mesure de poudre coûte très exactement deux Mornilles. Chaque foyer de sorciers possède un petit stock de poudre de Cheminette conservé habituellement dans un pot ou un vase posé sur la cheminée.
La composition exacte de la poudre de Cheminette est un secret jalousement gardé. Aucun de ceux et celles qui ont un jour tenté de fabriquer leur propre version n'est parvenu à reproduire sa formule. Chaque année, l’hôpital Ste Mangouste pour les maladies et blessures magiques signale au moins un cas de « Cheminetta Falsa », une expression faisant référence aux atroces blessures subies par quiconque ayant eu le malheur de jeter une poudre de fabrication artisanale dans son âtre. Excédé par ces pratiques dangereuses, un guérisseur et porte-parole de Ste Mangouste du nom de Rutherford Doissec fit d'ailleurs la déclaration suivante en 2010 : « Une mesure de poudre de Cheminette ne coûte que deux malheureuses petites Mornilles ! Arrêtez donc d'être aussi radins et cessez de jeter des crochets de Runespoor écrasés dans le feu si vous ne voulez pas être propulsés à travers le réseau dans une explosion de flammes ! Sachez aussi que si un autre sorcier se présente ici avec le postérieur carbonisé, je refuserais tout bonnement de le soigner. Deux petites Mornilles, c'est tout ce que ça coûte ! »


TAPIS VOLANT

Le tapis volant est couramment utilisé en Orient et reste le moyen de locomotion préféré des sorciers. Mais il est interdit en Grande-Bretagne car il est défini comme un artefact moldu par le Bureau d'enregistrement des objets à ensorcellement prohibé. Le commerce des tapis volants est florissant en Inde, au Pakistan, au Bangladesh, en Iran et en Mongolie. Cela provoque une méfiance des ministères de la Magie de ces pays envers le Quidditch. Parmi les types de tapis notables, on peut citer l'Axminster, qui est si grand qu'il peut transporter jusqu'à 12 personnes.


TRANSPLANAGE

Le transplanage est une forme magique de téléportation par laquelle une personne peut disparaître d'un endroit et réapparaître quasi instantanément dans un autre. Les sensations du transplanage sont désagréables : tourbillon allant à toute allure, sensation d'enfermement ou d'écrasement... Si le sortilège est mal exécuté, le lanceur peut se désartibuler, c'est à dire se retrouver avec une partie de son corps au mauvais endroit, ou même carrément la perdre. Ce risque, assez fréquent au début, est à l'origine de l'interdiction faite sans l'obtention du permis adéquat. Il est proposé aux élèves majeurs de Poudlard (Remarque : les sorciers sont majeurs à 17 ans) de suivre les cours de Wilkie Tycross, un moniteur spécialement envoyé par le ministère de la magie.
Le transplanage d'escorte permet à des personnes n'ayant pas le permis d'accompagner un sorcier qui transplane. Il suffit à
Certains lieux peuvent être protégés contre le transplanage. C'est le cas de Poudlard. Pour les leçons de transplanage, une interdiction temporaire est levée dans la grande salle.
Les elfes de maison peuvent également se déplacer en transplanant. Mais leur magie propre étant différente de celles des sorciers, ils ne sont pas affectés par les protections anti transplanage et peuvent donc transplaner même dans l'enceinte de Poudlard.
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